Une comète est un corps céleste de taille réduite, en orbite autour d’une étoile, constitué d’un noyau de glace et de poussière. Elle est composée de trois parties : le noyau, la chevelure et la queue, noyau et chevelure formant sa tête.
Lorsque son orbite, généralement de forme elliptique, la rapproche de l’astre autour duquel elle gravite, (le soleil dans notre système solaire) la comète subit de multiples forces telles que des vents stellaires et des radiations. Le noyau s’entoure alors d’un halo fluorescent fait de gaz et de poussières issus de ce dernier, appelé chevelure, et prolongé de traînées lumineuses, appelées queue, longues parfois de plusieurs dizaines de millions de kilomètres.
Philippe Parrot
Sous quelle étoile suis-je né ? – Michel Polnareff
* * * *
Poème 248 : Emmenez-nous vers vos ailleurs !
.
Ô comètes lointaines aux chevelures incandescentes !
Brillances plus étincelantes que nos pâles aurores,
Vous illuminez d’une zébrure resplendissante,
Les nuits de notre Terre, pailletées d’or !
.
Poursuivez votre orbite, bien au-delà des aires
Des dieux courroucés de ne pas être par vous adulés !
Vous trouverez dans l’éther, sous la houlette d’un de vos pairs
Célestes : le Soleil, de quoi glorifier vos flamboyances immaculées…
.
Vos corps sont des agglomérats de glace et de poussière
Inaccessibles. Vos traînées lumineuses dans l’espace,
Au milieu des trous noirs, poussent à leurs manières
Nos âmes à rêver d’envol au-dessus de nos nasses.
.
Vos mouvements éternels sont une énergie pure.
Sa puissance scintillante, enchanteresse et vive,
Son rayonnement immense, infini par nature,
Balaient d’un souffle nos pensées trop rétives.
.
Admirons vos trajectoires parfaites d’où naissent
Des champs magnétiques aux ondes fantastiques ! Gages
De Merveilleux, bien loin de nos puantes boues, elles paraissent
À nos regards éblouis de bien belles invites à de mirifiques voyages.
.
À n’être que des hommes qui vont à l’aveuglette
Et ploient sous le fardeau d’existences trop pesantes,
Croyons en la magie de votre aura —toujours sur la sellette —
Afin qu’enfin nos cœurs se laissent gagner par vos lueurs apaisantes !
.
P 248 – Emmenez-nous vers vos ailleurs !
Poème écrit par Philippe Parrot
Commencé le mardi 21 février 2017
Et terminé le mercredi 22 février 2017
Vous aimez ce poème. Partagez l’article ! Vous contribuerez ainsi à la diffusion de mes mots.
Pour visualiser le poème en même temps qu’il est lu, cliquez simultanément sur le fichier pdf et sur la vidéo !
* * * *
* * * *
Pour accéder à la totalité de mes poèmes classés par ordre chronologique et thématique, veuillez cliquer sur l’une des bannières ci-dessous :
* * * *
Notification : Conformément au code de la propriété intellectuelle (loi n°57-298 du 11 mars 1957), il est interdit d’utiliser et/ou de reproduire et/ou de modifier et/ou de traduire et/ou de copier le texte ci-dessus, de façon intégrale ou partielle, sur quelques supports que ce soit : électronique, papier ou autre, sans l’autorisation expresse et préalable de l’auteur. Tout droit réservé.