Résumé du film « Le fantôme de Sarah Williams » : Au début des années 1970, Fielding Pierce, étudiant pragmatique et ambitieux, rêve de faire une carrière politique au Capitole. Il fait alors la connaissance de Sarah Williams, une jeune femme idéaliste et déterminée qui milite activement dans des associations humanitaires. Bien que portés par des idéaux radicalement opposés, ils tombent amoureux l’un de l’autre. Hélas, elle meurt lors d’une mission, victime d’un attentat alors qu’elle aidait des résistants chiliens.
Dix ans plus tard tandis qu’il bringue un premier mandat, voilà que Fielding Pierce est submergé par des visions, ayant l’impression de revoir à maintes reprises Sarah. Sa « prétendue » mort ne serait-elle pas un subterfuge pour lui permettre de mieux servir ses luttes ?
Déboussolé par ces « apparitions », en manque de sa lumineuse présence, il commence à perdre pied, ne trouvant plus aucun sens à sa vie jusqu’au jour où Sarah vient frapper à sa porte pour lui signifier qu’il doit cesser d’être obsédée par elle. Il en fait la promesse, taraudé néanmoins par une lancinante question : Qui est cette Sarah qu’il a vue ? Celle, toujours vivante et entrée dans la clandestinité pour poursuivre ses combats ou celle enfouie au tréfonds de son cœur qui l’invite enfin à se libérer — bel et bien morte — de son emprise quoique tous deux sachent qu’ils s’aiment et s’aimeront toujours d’un indéfectible amour ?
De toute évidence, la réponse restera en suspens aussi longtemps qu’il vivra…
Philippe Parrot
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Poème 274 : Rêver de te revoir !
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Croyons en ce bel avenir
D’un jour nous appartenir !
À quoi bon ne vouloir m’en tenir
Qu’aux rêves comme unique plaisir ?
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Chimères, ils m’empêchent de partir…
Pourtant, quand viendra l’heure de mourir,
Si je veux vraiment tout quitter sans souffrir,
À l’instant de rendre mon dernier et las soupir,
Il me faut avoir revu tes irrésistibles sourires
Et surtout m’être encore soûlé de tes rires.
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Jadis, eux seuls réveillaient mes désirs.
Alors, s’il me reste une chance à saisir,
C’est enfin de me résoudre à choisir,
Au risque de t’entendre me bannir,
D’aller te retrouver sans te le dire,
Quitte à provoquer ta subite ire,
À en aimer un autre, à loisir !
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Poème écrit par Philippe Parrot
Le mercredi 5 juillet 2017
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