Philippe Parrot – Poème hors champ 170425 (vidéo YouTube)

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Poème hors champ 170425

Il n’aura suffi…

.

Il n’aura suffi

Que l’aube fasse fi

Des ténèbres ambiantes

Pour qu’apparaisse ton visage.

Surtout… ton sourire sans âge

Et tes prunelles brillantes !

 .

Quel miracle qu’il redonne

À mon cœur qui s’étonne

L’obscur et fol élan de foi

Dans l’instant quand vient

L’heure — loin des siens —

De prendre une nouvelle voie.

 .

À ne plus avoir peur

D’oser le bonheur,

Ton regard éperdu

A soudain réussi

À donner à ma vie

Un sens inattendu.

.

Pour sceller notre lien,

Semblables à des païens,

Sans pudeur et sans honte,

Vite, nous nous sommes aimés.

Nos corps, mains et âmes affamés,

Si pressés de vivre ce qui compte.

 .

Poème écrit le 14 avril 2025

par philippeparrotpoesie.com  ©

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