De bric et de broc 34 (vidéo YouTube) * * * * De bric et de broc 34 Fugace amour d’été . Tes mains sur mes seins Chavirent mon corps… Troublée ─ à dessein ─ Je te crie : « Encore ! » . Troublée ─ à dessein ─ Mes bras t’enserrent. À me rire des Saints, […]
Philippe Parrot : De bric et de broc 33 : Supplique…

De bric et de broc 33 (Vidéo YouTube) * * * * De bric et de broc 33 Supplique… . Dis ! « Mon Cœur », j’aimerais tant Qu’à l’unisson, à palpiter sans trêve, L’existence nous offre assez de Temps Pour réaliser ensemble tous mes rêves ! . Avec toi, « Mon Cœur », au fil d’innombrables printemps, Marcher […]
Philippe Parrot : De bric et de broc 11 : Se fondre l’une dans l’autre…

De bric et de broc 11 (vidéo YouTube) * * * * De bric et de broc 11 Se fondre l’une dans l’autre . T’ôter ton bikini Quand le mien l’est déjà, Mon haut jeté au loin, — Mon bas minimaliste, Suspendu à la branche D’un saule protecteur — Comme j’en rêvais De cette […]
Philippe Parrot : Poème contemporain 393 : Amours d’été

À l’occasion des vacances, chacun s’enthousiasme toujours à l’idée de rompre avec ses habitudes professionnelles et familiales, ravi de pouvoir lâcher prise, durant quelques semaines, dans des lieux au dépaysement garanti. Sous l’effet du soleil, de la plage, des boissons et du farniente, le corps et l’esprit libérés, le vacancier s’affranchit alors des règles et […]
Philippe Parrot : Poème contemporain 366 : Trahison de printemps

Elle était l’unique fleur alentour et nulle vie, autre que la sienne, n’existait en ces lieux. Haut perchée sur sa tige, par la délicatesse de ses pétales et la puissance de son parfum, elle incarnait étrangement la beauté sur cette aire inhabitée, aussi sinistre qu’un paysage lunaire. Elle vivait là depuis des temps immémoriaux, dans […]
Philippe Parrot : Poème contemporain 322 : La Dame-au-chat

Épicurienne dame, elle aime chaque dimanche matin se prélasser longuement au lit… Quand elle ne met pas un deuxième oreiller sur son visage pour mieux s’isoler du monde et s’adonner à la rêverie, elle laisse son chat venir se canicher contre elle, à hauteur de son visage. Et là, à sentir la chaleur de son […]
Philippe Parrot : Poème contemporain 226 : Inoubliable été

En vacances à la campagne, deux adolescents profitent d’un été radieux pour faire de longues promenades. Amis d’enfance, ils se connaissent depuis si longtemps qu’ils n’imaginent pas un seul instant que ce plaisir affiché à tout partager ensemble, puisse trahir autre chose qu’une simple et belle amitié. Pourtant, alors qu’ils se reposent dans un verger, […]
Philippe Parrot : Poème contemporain 200 : Une vie à rebours au fil des saisons

L’existence nous impose un parcours bien linéaire qui va de la naissance à la mort, en passant par l’enfance, la maturité et la vieillesse, sans que nous puissions à aucun moment interférer sur ce processus biologique. Mais rien n’empêche à la pensée — pour une fois délirante — de sortir de cet incontournable schéma pour […]
Philippe Parrot : Poème contemporain 94 : Quatre saisons.

Quelles que soient les époques ou les sociétés, les hommes ont toujours cherché dans la nature des repères qui leur permettent non seulement d’organiser leur vie mais aussi de lui donner un sens. Le cycle des saisons avec ses changements radicaux qui reviennent d’une année sur l’autre, a toujours été l’un des plus importants car […]
Philippe Parrot : Poème contemporain 38 : Baignade

Cette jeune femme qui joue avec un dauphin, semble ravie. Comme si — à batifoler dans l’eau avec cet animal — elle oubliait un instant, dans l’exaspération de ses émotions, de chercher un fil conducteur à sa vie. Mais à trouver où ? Sur la terre ferme, avec ses vicissitudes et ses tracasseries qui finissent toujours […]
Philippe Parrot : Poème contemporain 14 : Au Petit Pont Perdu.

Au cours d’une promenade sur le chemin de halage, à l’écart de la ville, je ne songeais à rien, trop heureux d’oublier les tracas quotidiens. D’un pas lourd et traînant, car l’âme vagabonde, je marchais vers l’écluse où les bateaux font halte. Solitaire et tranquille… Mais quand je l’ai croisée, allongée sur la rive, légèrement […]